L’héroïne d’Andersen a inspiré à la créatrice une bague qui cristallise toute la dualité de ce conte pour enfants. Entre esthétique art nouveau et esprit contemporain, la dernière création de Frédérique Berman réussit le mix parfait. Un must-have à découvrir dès à présent sur le market place de The Eye of Jewelry.
Si la petit Sirène avait eu la possibilité de se transformer en un bijou pour échapper aux foudres d’Ursula, nul doute qu’elle aurait opté pour cette bague féérique.
Directement inspirée du célèbre conte d’Andersen – le conte préféré de la créatrice – la pièce nous invite au voyage, à la découverte des fonds marins. On aime à se laisser guider par cette boussole précieuse dont l’extrémité prend la forme d’une queue de poisson, ou celle d’une sirène, ponctuée de diamants blancs. Sur l’autre bras, trône fièrement un superbe saphir de Ceylan de 2,53 carats, qui capte tous les regards.
Il émane de cette bague l’influence de l’esthétique art nouveau, dont on reconnaît les traits empruntés à Lalique ou encore Fouquet, dont Frédérique Berman livre ici une interprétation contemporaine aux lignes tendues.
Côté technique, la créatrice a choisi de mixer l’or blanc au titane pour accentuer les nervures de la queue et rehausser ainsi les contrastes. Comme l’explique Frédérique Berman : « Je voulais donner aux stries une teinte bleue, en écho au saphir, tout en apportant un reflet irisé. Le titane m’est apparu comme le matériau le plus adapté pour atteindre cet objectif et injecter la juste dose d’innovation à la bague Ariel ».
Une façon de rappeler une nouvelle fois l’essence du métier de joaillier, celui de faire cohabiter les techniques les plus anciennes aux innovations les plus poussées, sans en oublier de distiller la magie nécessaire. Une recette savamment maîtrisée par la créatrice de la bague Ariel.