Après avoir fait souffler un vent de liberté sur la joaillerie à son lancement en 2004, la marque de Marie Poniatowski fait une nouvelle fois figure de pionnière avec une offre inédite dans le secteur. La seconde main n’a jamais été aussi désirable.
Liberté. Un des maîtres-mots de la créatrice, pour qui le bijou se doit avant tout de laisser libre court à ses inspirations, ouvrant la palette à des associations on ne peut plus audacieuses. Celle, qui a développé parmi les premières cette notion de joaillerie seconde peau dans un porté quotidien, s’est intéressée de plus près au phénomène de la seconde main, en plein boom. Ce segment, que nos amis anglais ont joliment qualifié de « pre-loved », attire non seulement les amoureux des pièces dotées d’une histoire personnelle, mais aussi celles et ceux qui souhaitent faire rimer joaillerie et éco-responsabilité.
A l’instar de la mode, la joaillerie est aujourd’hui traversée par ces questionnements relatifs à l’origine des matériaux, et à leur impact environnemental. En réponse aux attentes de sa clientèle, Stone dévoilera en septembre « Stone Paris Vintage », une plateforme dédiée aux bijoux de seconde main. Plus circulaire, plus durable, la Maison fait une nouvelle fois fi des codes traditionnels de cet univers pour embrasser le défi de l’éco-responsabilité.
C’est aussi l’opportunité́ de rendre plus accessible auprès des jeunes générations des bijoux de valeur fabriqués à la main. Stone assure l’expertise, la restauration mais aussi la certification des pièces en or 18 carats et diamants avant leur mise en ligne. Un gage de qualité, qui permet de partir à la chasse aux trésors – et aux bonnes affaires – les yeux fermés !