En associant le cuir au diamant, la Maison de joaillerie parisienne délivre une leçon de style, où la pierre éternelle s’impose en toute occasion, aux poignets des femmes comme à ceux des hommes.
Souvenez-vous. En 2007, Valérie Messika lance Move, une collection de joaillerie inspirée par le thème du mouvement, dont les lignes épurées donnent au diamant, sa pierre fétiche, un formidable terrain de jeu. Encapsulé dans un écrin précieux, le diamant se fait ludique, bougeant au gré des mouvements de la femme. Ce vent de nouveauté, la créatrice aime à le distiller chaque année sur sa collection iconique, surprenant sa clientèle avec des variations joaillières offrant un nouveau porté (les médaillons Lucky Move) ou faisant la part belle aux couleurs. Ce fut le cas l’année dernière avec l’introduction, pour la première fois dans l’histoire de la maison, des pierres dures comme la malachite, la turquoise ou encore le lapis lazuli.
Créée pendant le premier confinement de mars 2020, la collection My Move est née de l’envie de Valérie Messika de signer une pièce d’inspiration mode qui magnifie le diamant. Le choix se porte rapidement sur le cuir, un nouveau matériau aux détails très couture. Hybride par nature, le bracelet My Move s’inscrit dans l’air du temps, laissant aux hommes comme aux femmes la possibilité de se l’approprier ou encore de se l’échanger. Liens cuir, mat ou verni, motif pavé, tout or ou titane, My Move devient le terrain de jeu du « tout est possible ». Plus de 300 combinaisons existent dans des coloris ultra désirables allant de l’orange tangerine, au rose framboise au jaune vénitien. Les partisans d’un vestiaire plus minimaliste ne seront pas en reste avec une palette composée de blanc, de taupe et de nude addictifs. Un arc-en-ciel de couleur et une infinité de style pour jouer en duo ou en solo, le nouveau chapitre d’un bijou à l’image de la génération Z, masculin et féminin !