Après une carrière dans le design, Ségolène Dangleterre pose son œil affûté sur le bijou et nous livre une collection d’objets précieux à la singularité irrésistible. Découverte.
De sa première vie dans le design, Ségolène Dangleterre a gardé le goût de l’objet, un sens des volumes et des proportions, auquel elle injecte une signature personnelle.

La créatrice excelle dans l’art de concevoir des bagues comme des sculptures miniaturisées, véritables compositions ornementales à porter en accumulation. Ce que l’on aime ? Les lignes franches, l’équilibre des proportions, et le contraste maîtrisé dans le jeu des associations de pierres.
Diplômée de l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims, Ségolène Dangleterre conçoit le bijou comme on pourrait le faire avec un parfum, elle y voit « un miroir de notre état d’esprit au moment où nous le choisissons ». Entre le bijou et sa propriétaire, la rencontre doit opérer de façon spontanée. D’ailleurs pour la créatrice, le choix de la pierre ne doit pas être guidé par la symbolique de celle-ci, mais résulter d’un véritable « coup de foudre pour la gaieté qu’il suscite, le charme ou l’insolence qu’il inspire ».

Ségolène Dangletterre puise dans l’univers du design les matériaux pour créer l’inattendu dans notre quotidien. On se laisse séduire par ses combinaisons aussi surprenantes qu’attractives, comme celles d’un lapis lazuli bousculé par un grenat malaya ou d’un quartz rose piqué de tsavorites. Une singularité particulière magnifiée par le savoir-faire des artisans et les valeurs de la marque.

Chez DANGLETERRE, le bijou fait le lien entre le désir créatif et les convictions éco-responsables de Ségolène. Aussi, pour inscrire ses objets dans le temps, la créatrice a fait le choix de l’or recyclé 18 carats et de pierres naturelles non traitées, fournies par ses partenaires RJC.
Faire sens. De l’inspiration à la réalisation. Tel pourrait être le secret des bijoux totem à la géométrie subtile de la Maison DANGLETERRE.
